Aujourd'hui, nous avons fait deux parties de Dead Men's Hand. Une bonne rigolade, une belle table, dont je vais vous faire profiter. Petit plus que j'adore, des civils qui vont essayer, avec succès, de passer entre les balles.
Situation de départ : je joue les citoyens et Cricri les Outlaw. Quelques photos de la table.
Pour commencer, photo d'un joueur de violon… au violon. Un peu logique non ?
Le médecin qui sort de chez lui.
- Belle journée. Je pense que je vais aller à la pêche.
- Bonne idée. Il ne se passe jamais rien de toute façon.
Un journaliste qui interroge des passants.
- Vous êtes au courant ? Les Outlaw ont tué le mari de Betty, et elle est bien décidée à se venger.
- Non, mais il y a un coyote écrasé au bout de la rue, si vous voulez faire un article.
Le patron du saloon.
- On m'a livré deux tonneaux de whisky, il était temps. Marre de pisser dans du jus de cactus fermenté pour me faire du pognon.
L'équipe des citoyens, mon équipe. Avec les trois nœuds blancs, mon boss. A sa droite, Abe, mon second. Les quatre citoyens. Et en jupe courte et bottines rouges, à droite, une invitée surprise.
L'équipe des Outlaw. Au centre le boss. De belles tronches de tueurs.
Début du scénario. Les Outlaw sont sur les toits (car oui, les Outlaw passent leur journée sur les toits, comme tout le monde le sait) tandis que leur boss est au fond de la table (pas visible). Betty entre en ville, ses potes éparpillés un peu partout. Mon objectif : flinguer le boss adverse. Son objectif : tenir un certain nombre de tours (en somme, rester en vie).
A l'autre bout de la ville, le boss adverse qui se planque derrière une maison.
- Je ne voulais pas tuer ton mari Betty. Il voulait me voler les vaches que je lui ai volées la semaine dernière. C'est de la légitime défense !
- Sort de là Josh, que je te plombe ta petite gueule !
Un des outlaws saute du toit et se planque. Les civils s'attroupent autour de lui. Le journaliste l'interroge. La photo est pourrie, l'appareil a fait le point sur le tonneau de whisky au second plan. J'aurais fait pareil à sa place, mais ça n'illustre pas vraiment mon histoire.
Betty, derrière sa caisse se fait flinguer. Mais sa cousine, Pamela Zalando (à cause de ses bottines qu'elles sont trop mimi… OUAAAAAHHH) apparaît pour la venger. En fait une carte qui me donne un nouveau perso si je me fait dégommer quelqu'un.
Abe, qui est le pote de Betty, accoure comme un fou, bien décidé à la venger. Faut dire qu'il en pinçait un peu pour la petite !
Le blondinet, du groupe des Outlaw, descend de son toit, tire sur Abe et le rate comme une belle grosse merde. Toi, mon petit blondinet, tu va te faire plomber aussi.
Hahaaaa !!! Te voilà, rascal !!! Et pan, une balle dans son épaule. Ouille, c'est moi qui vais me faire plomber je crois le prochain tour.
Ca pue du boudin là ! Le Outlaw à droite qui se fait questionner par le journaliste. Pour une fois qu'il se passe un truc dans ce patelin. Marre des faire des articles sur des coyotes écrasés (version contemporaine des articles sur les chiens écrasés). Derrière lui, Abe qui est près à le mettre en joue. Au fond, derrière les caisses, un de mes gars. Au coin du bar, le boss adverse que je dois dessouder (on ne le voit pas, il est derrière la maison). Et sur le toit, à gauche, un Outlaw qui va tirer sur Abe.
Et là, le boss des Outlaw qui prend une vieille prostituée en otage pour pas se faire flinguer. J'ai un test de cran à passer et un -2 si je lui tire dessus. C'est lâche mon petit Cricri… mais efficace !
Hahaaaa !!! J'ai gagné l'initiative avec mon citoyen pour flinguer le blondinet… sauf qu'il a son revolver qui s'enraye. Quand ça veux pas…
Duel entre miss Zalando et un Outlaw sur le toit. Deux bangs et 60 cartouches cramés chacun. Le médecin se frotte les mains. Les affaires reprennent, je vais vider mon stock de pansements.
Le Blondinet, loin de tirer sur mon citoyen (qui a eu chaud là), entre dans la maison et tire sur un autre de mes citoyens… et le rate. "Dieu est avec moi" se dit mon citoyen, qui prend son fusil et lui met un gros coup de crosse dans la gueule. 11 à 2 au corps à corps. Le blondinet est par terre, une soixantaine de ses dents éparpillées sur le sol.
Abe s’approche de l'Outlaw et lui tire dessus, mettant en fuite les citoyens et mon journaliste.
- Il y a un peu trop d'action dans le coin là !!!
C'est le seul résultat puisque Abe le rate encore une fois. Quelle bande de bras cassé !
Le Outlaw se retourne et tire. 20 ! Merde, il m'a buté Abe, sa cervelle éparpillée sur le tonneau de whisky, qui n'est plus consommable du coup. Va falloir continuer à pisser dans du jus de cactus.
Au bout de la 176 cartouche, miss Zalando arrive quand même à flingue ce petit salopard.
- Ch'uis trop contente. Je vais m'acheter de nouvelles bottines pour fêter ça !
Le boss des Outlaw recule, couvert par la prostituée. Un de mes citoyens arrive, près à tirer. Mais tétanisé par la peur de toucher la prostituée (qu'il connaît bien… héhééé), il ne fait rien. T'as eu chaud mon vieux.
Le scénario s'arrête là, le boss des Outlaw ayant réussi à sauver sa petite gueule. Mais je suis bien décidé à me venger !!!
T'as eu chaud ma belle ! Mon petit cowboy ne voulait pas te faire un nouveau trou (pourri comme gag quand-même).
Situation de départ : je joue les citoyens et Cricri les Outlaw. Quelques photos de la table.
Pour commencer, photo d'un joueur de violon… au violon. Un peu logique non ?
Le médecin qui sort de chez lui.
- Belle journée. Je pense que je vais aller à la pêche.
- Bonne idée. Il ne se passe jamais rien de toute façon.
Un journaliste qui interroge des passants.
- Vous êtes au courant ? Les Outlaw ont tué le mari de Betty, et elle est bien décidée à se venger.
- Non, mais il y a un coyote écrasé au bout de la rue, si vous voulez faire un article.
Le patron du saloon.
- On m'a livré deux tonneaux de whisky, il était temps. Marre de pisser dans du jus de cactus fermenté pour me faire du pognon.
L'équipe des citoyens, mon équipe. Avec les trois nœuds blancs, mon boss. A sa droite, Abe, mon second. Les quatre citoyens. Et en jupe courte et bottines rouges, à droite, une invitée surprise.
L'équipe des Outlaw. Au centre le boss. De belles tronches de tueurs.
Début du scénario. Les Outlaw sont sur les toits (car oui, les Outlaw passent leur journée sur les toits, comme tout le monde le sait) tandis que leur boss est au fond de la table (pas visible). Betty entre en ville, ses potes éparpillés un peu partout. Mon objectif : flinguer le boss adverse. Son objectif : tenir un certain nombre de tours (en somme, rester en vie).
A l'autre bout de la ville, le boss adverse qui se planque derrière une maison.
- Je ne voulais pas tuer ton mari Betty. Il voulait me voler les vaches que je lui ai volées la semaine dernière. C'est de la légitime défense !
- Sort de là Josh, que je te plombe ta petite gueule !
Un des outlaws saute du toit et se planque. Les civils s'attroupent autour de lui. Le journaliste l'interroge. La photo est pourrie, l'appareil a fait le point sur le tonneau de whisky au second plan. J'aurais fait pareil à sa place, mais ça n'illustre pas vraiment mon histoire.
Betty, derrière sa caisse se fait flinguer. Mais sa cousine, Pamela Zalando (à cause de ses bottines qu'elles sont trop mimi… OUAAAAAHHH) apparaît pour la venger. En fait une carte qui me donne un nouveau perso si je me fait dégommer quelqu'un.
Abe, qui est le pote de Betty, accoure comme un fou, bien décidé à la venger. Faut dire qu'il en pinçait un peu pour la petite !
Le blondinet, du groupe des Outlaw, descend de son toit, tire sur Abe et le rate comme une belle grosse merde. Toi, mon petit blondinet, tu va te faire plomber aussi.
Hahaaaa !!! Te voilà, rascal !!! Et pan, une balle dans son épaule. Ouille, c'est moi qui vais me faire plomber je crois le prochain tour.
Ca pue du boudin là ! Le Outlaw à droite qui se fait questionner par le journaliste. Pour une fois qu'il se passe un truc dans ce patelin. Marre des faire des articles sur des coyotes écrasés (version contemporaine des articles sur les chiens écrasés). Derrière lui, Abe qui est près à le mettre en joue. Au fond, derrière les caisses, un de mes gars. Au coin du bar, le boss adverse que je dois dessouder (on ne le voit pas, il est derrière la maison). Et sur le toit, à gauche, un Outlaw qui va tirer sur Abe.
Et là, le boss des Outlaw qui prend une vieille prostituée en otage pour pas se faire flinguer. J'ai un test de cran à passer et un -2 si je lui tire dessus. C'est lâche mon petit Cricri… mais efficace !
Hahaaaa !!! J'ai gagné l'initiative avec mon citoyen pour flinguer le blondinet… sauf qu'il a son revolver qui s'enraye. Quand ça veux pas…
Duel entre miss Zalando et un Outlaw sur le toit. Deux bangs et 60 cartouches cramés chacun. Le médecin se frotte les mains. Les affaires reprennent, je vais vider mon stock de pansements.
Le Blondinet, loin de tirer sur mon citoyen (qui a eu chaud là), entre dans la maison et tire sur un autre de mes citoyens… et le rate. "Dieu est avec moi" se dit mon citoyen, qui prend son fusil et lui met un gros coup de crosse dans la gueule. 11 à 2 au corps à corps. Le blondinet est par terre, une soixantaine de ses dents éparpillées sur le sol.
Abe s’approche de l'Outlaw et lui tire dessus, mettant en fuite les citoyens et mon journaliste.
- Il y a un peu trop d'action dans le coin là !!!
C'est le seul résultat puisque Abe le rate encore une fois. Quelle bande de bras cassé !
Le Outlaw se retourne et tire. 20 ! Merde, il m'a buté Abe, sa cervelle éparpillée sur le tonneau de whisky, qui n'est plus consommable du coup. Va falloir continuer à pisser dans du jus de cactus.
Au bout de la 176 cartouche, miss Zalando arrive quand même à flingue ce petit salopard.
- Ch'uis trop contente. Je vais m'acheter de nouvelles bottines pour fêter ça !
Le boss des Outlaw recule, couvert par la prostituée. Un de mes citoyens arrive, près à tirer. Mais tétanisé par la peur de toucher la prostituée (qu'il connaît bien… héhééé), il ne fait rien. T'as eu chaud mon vieux.
Le scénario s'arrête là, le boss des Outlaw ayant réussi à sauver sa petite gueule. Mais je suis bien décidé à me venger !!!
T'as eu chaud ma belle ! Mon petit cowboy ne voulait pas te faire un nouveau trou (pourri comme gag quand-même).