Bataille révolutionnaire sur NPOW, quelque-part en Belgique. Le général Hoche attaque les Autrichiens du général Walberg.
La bataille était vraiment très sympa, plein de rebondissements. Et on voyait bien la progression de la bataille. Je vais vous raconter ça.
Image d'ensemble du champ de bataille. Les Autrichiens sont à gauche, sur la colline, derrière le village et du côté de bois au fond. A droite, les Français vont monter en ligne.
Aile droite autrichienne. Les Hongrois sont en première ligne. Les coalisés du Saint Empire, de moins bonne qualité, tiennent la redoute sur la colline.
Le centre et l'aile droite Autrichienne. Les Grenz tiennent le village. En arrière, les Autrichiens sont en réserve en colonne, prêts à bouger en fonction de l'attaque française.
L'aile gauche française sous le général Masséna, vue depuis la colline, fait son apparition. Son rôle est d'occuper la droite autrichienne et de faire diversion.
Le centre français, sous le général d'Arbois avec Hoche, débouche de la route principale. Son rôle est d'engager le village de face et par la droite. L'effort principal viendra de la droite française sous le général Ney. Elle devra faire un mouvement au-delà du village et forcer l'Autrichien à céder le champ de bataille.
Ayant une vision un peu plus claire du dispositif français, l'Autrichien s'ébranle. Sentant bien que la gauche française n'est qu'une diversion, Walberg décide d'avancer sa droite pour se débarasser au plus vite de son adversaire pour se rabattre sur le centre. Masséna ne se laisse pas impressionner et met ses troupes en colonne d'attaque, et se lance à l'assaut.
Les divisions d'Arbois et Ney franchissent la rivière, mais le champ devant le village se révèle plus accidenté que prévu, ralentissant le centre. Mauvaise surprise, la manœuvre de Hoche est déjà désorganisée.
Dans l'intervalle, la manœuvre de Masséna sur la gauche française marche bien mieux que prévu. La 12ème demi-brigade bouscule les Autrichiens et, dans sa fougue, renverse deux bataillons autrichiens en colonne de marche, qui montaient en ligne (les trois unités avec les marqueurs rouges derrière la cavalerie autrichienne). La diversion devient la manœuvre principale et, pour y faire face, Walberg repousse les importuns avec sa cavalerie et s'engage personnellement pour rétablir la situation. C'est le moment clef de la bataille. L'absence du général en chef autrichien sur sa gauche va fortement handicaper cette partie de la ligne de bataille.
La droite française justement. Hoche commence à engager ses troupes et à les presser fortement.
La situation des Autrichiens face à Masséna est confuse mais rétablie. Walberg décide de précipiter la décision et engage sa réserve de cavalerie.
Ney, sur la droite française, est furieusement engagée et pousse de tout son poids. L'Autrichien tient encore, mais il commence à ployer. Le centre français du général D'arbois débouche enfin du champ.
Dernière photo de la gauche française. La situation est bien rétablie par l'Autrichien, mais elle lui a coûté cher. Plus épuisé qu'il n'en a l'air, il ploiera à un retour offensif de Masséna.
Sur la droite française, Ney s'est débarrassé de ses adversaires, incapables de rétablir la situation (Walberg a manqué pour donner ses ordres). L'infanterie française manoeuvrera ensuite les Hongrois tandis que la cavalerie va contourner la redoute, balayant l'artillerie autrichienne.
En un tour, cinq unités autrichiennes partent en déroute, dont les deux batteries autrichiennes. Walberg jette l'éponge et bat le repli général pour sauver ce qui peut l'être.
Le combat était intense, plein de rebondissements. On s'est bien amusé et on a bien rigolé. On en fera une autre prochainement les gars.
La bataille était vraiment très sympa, plein de rebondissements. Et on voyait bien la progression de la bataille. Je vais vous raconter ça.
Image d'ensemble du champ de bataille. Les Autrichiens sont à gauche, sur la colline, derrière le village et du côté de bois au fond. A droite, les Français vont monter en ligne.
Aile droite autrichienne. Les Hongrois sont en première ligne. Les coalisés du Saint Empire, de moins bonne qualité, tiennent la redoute sur la colline.
Le centre et l'aile droite Autrichienne. Les Grenz tiennent le village. En arrière, les Autrichiens sont en réserve en colonne, prêts à bouger en fonction de l'attaque française.
L'aile gauche française sous le général Masséna, vue depuis la colline, fait son apparition. Son rôle est d'occuper la droite autrichienne et de faire diversion.
Le centre français, sous le général d'Arbois avec Hoche, débouche de la route principale. Son rôle est d'engager le village de face et par la droite. L'effort principal viendra de la droite française sous le général Ney. Elle devra faire un mouvement au-delà du village et forcer l'Autrichien à céder le champ de bataille.
Ayant une vision un peu plus claire du dispositif français, l'Autrichien s'ébranle. Sentant bien que la gauche française n'est qu'une diversion, Walberg décide d'avancer sa droite pour se débarasser au plus vite de son adversaire pour se rabattre sur le centre. Masséna ne se laisse pas impressionner et met ses troupes en colonne d'attaque, et se lance à l'assaut.
Les divisions d'Arbois et Ney franchissent la rivière, mais le champ devant le village se révèle plus accidenté que prévu, ralentissant le centre. Mauvaise surprise, la manœuvre de Hoche est déjà désorganisée.
Dans l'intervalle, la manœuvre de Masséna sur la gauche française marche bien mieux que prévu. La 12ème demi-brigade bouscule les Autrichiens et, dans sa fougue, renverse deux bataillons autrichiens en colonne de marche, qui montaient en ligne (les trois unités avec les marqueurs rouges derrière la cavalerie autrichienne). La diversion devient la manœuvre principale et, pour y faire face, Walberg repousse les importuns avec sa cavalerie et s'engage personnellement pour rétablir la situation. C'est le moment clef de la bataille. L'absence du général en chef autrichien sur sa gauche va fortement handicaper cette partie de la ligne de bataille.
La droite française justement. Hoche commence à engager ses troupes et à les presser fortement.
La situation des Autrichiens face à Masséna est confuse mais rétablie. Walberg décide de précipiter la décision et engage sa réserve de cavalerie.
Ney, sur la droite française, est furieusement engagée et pousse de tout son poids. L'Autrichien tient encore, mais il commence à ployer. Le centre français du général D'arbois débouche enfin du champ.
Dernière photo de la gauche française. La situation est bien rétablie par l'Autrichien, mais elle lui a coûté cher. Plus épuisé qu'il n'en a l'air, il ploiera à un retour offensif de Masséna.
Sur la droite française, Ney s'est débarrassé de ses adversaires, incapables de rétablir la situation (Walberg a manqué pour donner ses ordres). L'infanterie française manoeuvrera ensuite les Hongrois tandis que la cavalerie va contourner la redoute, balayant l'artillerie autrichienne.
En un tour, cinq unités autrichiennes partent en déroute, dont les deux batteries autrichiennes. Walberg jette l'éponge et bat le repli général pour sauver ce qui peut l'être.
Le combat était intense, plein de rebondissements. On s'est bien amusé et on a bien rigolé. On en fera une autre prochainement les gars.