Une nouvelle bataille Russo-Japonaise entre Olaf, dans le camp du Japonais, et Le Glaude, dans le camp du Russe. Scénario d’assaut frontal pour une fois entre un Japonais qui attaque sur un front réduit un Russe bien retranché.
Photo du champ de bataille pour commencer, avant le début de la boucherie. Les Russes tiennent les trois collines de droite, objectifs de cette partie. Les Japonais entrent par la gauche. Celui qui gagne est celui qui contrôle le plus de collines.
La brigade de gauche russe. Elle est entre la rivière (infranchissable) et la forêt, au bas de la colline où a été aménagé une redoute. La colline sera la ligne de repli, ainsi que le dernier bastion à défendre.
Le centre russe. La brigade est dans le bois et au bas de la colline, un bataillon en réserve, en colonne d'attaque sur la colline. La grande batterie est sur la colline, de sorte à soutenir par son feu la défense de la ligne principale.
La brigade de droite russe sur la dernière colline, encore une fois en deux ligne. Une première au niveau de la colline, soutenue par l'artillerie, la seconde au niveau de la colline pour éviter les mouvements de flanc. En arrière, en réserve de division, la brigade de cavalerie..
J'ai bien fait de mettre la réserve sur mon flanc droit. Le Japonais fait entrer une première brigade sur ce flanc, suivi rapidement d'une seconde brigade. Il reste encore deux brigades japonaises à faire entrer, j'attends avant de bouger mes troupes.
La troisième brigade fonce au centre, en face de ma grande batterie. Je pense qu'ils ne vont pas aller très loin. Mais il est encore trop tôt pour le dire.
Le Japonais a placé sa grande batterie sur la colline et commence à soutenir son attaque. Ceux-ci ont déjà fait reculer les Russes. Les pertes des Japonais commencent à s'accumuler, mais une seconde ligne de bridés est là pour pousser. Finement joué mon petit Cricri, mais est-ce que ce sera suffisant ?
Au centre, la ligne japonaise continue à avancer sous un feu d'enfer : quatre batteries d'artillerie, soutenues par l'infanterie russe au fur et à mesure de l'avance des Japonais.
Mais l'avance japonaise piétine sur sa gauche. Les pertes sont trop lourdes, il faut remettre un petit coup de saké pour redémarrer la machine.
Quant tout d'un coup, la dernière brigade japonaise fait sont apparition sur la gauche russe.
Les Japonais trouvent finalement les ressources pour se lancer à l'assaut. La forêt commence à être nettoyée de ses Russes, la première ligne vient de céder. Second objectif, la colline à présent. En face, les Japonais tiraillent les Russes, à couvert de la forêt à l'extrême gauche. Je pense que c'est mon point faible.
Quant tout d'un coup, au centre, les Japonais que je pensais au bord de l'épuisement après avoir subi tous ces tirs se lancent à l'assaut du bois. Là…j'avoue… je ne m'y attendais pas ! D'autant plus que le bataillon russe va faire un superbe 20 et partir en courant. Les deux bois sont aux mains des bridés, va falloir serrer les fesses.
La gauche russe, toujours sous pression.
La droite, les Russes ne tiennent plus que la lisière du bois. Une fois celui-ci pris, la colline du centre ou celle de droite sont sérieusement menacées.
A gauche, les Japonais progressent là aussi dans le bois.
Mais c'est déjà la fin de la bataille. Trop épuisés pour déboucher du bois, les Japonais ne progressent plus et partent en déroute au moindre feu.
Sur la droite russe, même chose. Les Japonais sont incapables de sortir de leur couvert, les cavaliers russes et l'artillerie les attendant pour les fusiller.
Je voulais faire entrer une cinquième brigade japonaise pour terminer la bataille par une victoire de mon hôte, mais il était tard et nous avons plié sur une victoire défensive russes, ce dernier ayant toujours le contrôle des trois collines.
Le scénario n'était pas facile, privilégiant clairement la défensive sur un front plus étroit que d'habitude. Mais un beau challenge que Cricri a su relever avec intelligence et talent. 37 % de pertes chez le Russe, 50 % chez le Japonais. Mais seule la brigade russe de gauche était encore intacte, les deux autres brigades ayant des pertes dépassant les 50 %. Les combats ont été rudes encore une fois.
Photo du champ de bataille pour commencer, avant le début de la boucherie. Les Russes tiennent les trois collines de droite, objectifs de cette partie. Les Japonais entrent par la gauche. Celui qui gagne est celui qui contrôle le plus de collines.
La brigade de gauche russe. Elle est entre la rivière (infranchissable) et la forêt, au bas de la colline où a été aménagé une redoute. La colline sera la ligne de repli, ainsi que le dernier bastion à défendre.
Le centre russe. La brigade est dans le bois et au bas de la colline, un bataillon en réserve, en colonne d'attaque sur la colline. La grande batterie est sur la colline, de sorte à soutenir par son feu la défense de la ligne principale.
La brigade de droite russe sur la dernière colline, encore une fois en deux ligne. Une première au niveau de la colline, soutenue par l'artillerie, la seconde au niveau de la colline pour éviter les mouvements de flanc. En arrière, en réserve de division, la brigade de cavalerie..
J'ai bien fait de mettre la réserve sur mon flanc droit. Le Japonais fait entrer une première brigade sur ce flanc, suivi rapidement d'une seconde brigade. Il reste encore deux brigades japonaises à faire entrer, j'attends avant de bouger mes troupes.
La troisième brigade fonce au centre, en face de ma grande batterie. Je pense qu'ils ne vont pas aller très loin. Mais il est encore trop tôt pour le dire.
Le Japonais a placé sa grande batterie sur la colline et commence à soutenir son attaque. Ceux-ci ont déjà fait reculer les Russes. Les pertes des Japonais commencent à s'accumuler, mais une seconde ligne de bridés est là pour pousser. Finement joué mon petit Cricri, mais est-ce que ce sera suffisant ?
Au centre, la ligne japonaise continue à avancer sous un feu d'enfer : quatre batteries d'artillerie, soutenues par l'infanterie russe au fur et à mesure de l'avance des Japonais.
Mais l'avance japonaise piétine sur sa gauche. Les pertes sont trop lourdes, il faut remettre un petit coup de saké pour redémarrer la machine.
Quant tout d'un coup, la dernière brigade japonaise fait sont apparition sur la gauche russe.
Les Japonais trouvent finalement les ressources pour se lancer à l'assaut. La forêt commence à être nettoyée de ses Russes, la première ligne vient de céder. Second objectif, la colline à présent. En face, les Japonais tiraillent les Russes, à couvert de la forêt à l'extrême gauche. Je pense que c'est mon point faible.
Quant tout d'un coup, au centre, les Japonais que je pensais au bord de l'épuisement après avoir subi tous ces tirs se lancent à l'assaut du bois. Là…j'avoue… je ne m'y attendais pas ! D'autant plus que le bataillon russe va faire un superbe 20 et partir en courant. Les deux bois sont aux mains des bridés, va falloir serrer les fesses.
La gauche russe, toujours sous pression.
La droite, les Russes ne tiennent plus que la lisière du bois. Une fois celui-ci pris, la colline du centre ou celle de droite sont sérieusement menacées.
A gauche, les Japonais progressent là aussi dans le bois.
Mais c'est déjà la fin de la bataille. Trop épuisés pour déboucher du bois, les Japonais ne progressent plus et partent en déroute au moindre feu.
Sur la droite russe, même chose. Les Japonais sont incapables de sortir de leur couvert, les cavaliers russes et l'artillerie les attendant pour les fusiller.
Je voulais faire entrer une cinquième brigade japonaise pour terminer la bataille par une victoire de mon hôte, mais il était tard et nous avons plié sur une victoire défensive russes, ce dernier ayant toujours le contrôle des trois collines.
Le scénario n'était pas facile, privilégiant clairement la défensive sur un front plus étroit que d'habitude. Mais un beau challenge que Cricri a su relever avec intelligence et talent. 37 % de pertes chez le Russe, 50 % chez le Japonais. Mais seule la brigade russe de gauche était encore intacte, les deux autres brigades ayant des pertes dépassant les 50 %. Les combats ont été rudes encore une fois.