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Après un premier petit test entre Français et soviétiques en 1941, aussi réussi qu'instructif, nous nous sommes lancés dans un nouveau test : Américains contre Soviétiques fin de guerre.
Donc, nous sommes à l'été 1945, quelque part sur la ligne de démarcation entre les deux puissance majeures. Objectif : une brasserie tchèque qui suscite la convoitise des deux protagonistes. Doit-elle distiller de la vodka ou du whisky ? Question essentielle !
L'Américain est en défensive dans le village avec de l'infanterie (deux compagnies) et un peu d'artillerie AC. En réserve, prêt à intervenir sur demande (les communications US sont plutôt performantes), un groupe de chasseurs de chars M10 et un second de Shermans fin de guerre (canon de 76). Le tout est expérimenté, et prêt à défendre chèrement le stock de whisky.
En face, le Russe, qui entre tous les tours, un peu au hasard. Il y aura jusqu'à 4 groupes d'infanterie et 2 groupes de blindés, tous vétérans, donc plus nombreux et avec une meilleur discipline.
Les deux ont un soutien d'artillerie hors table, plutôt balaise.
Voyons voir comment tout ce beau monde se comporte.
La surface de jeu pour commencer. Plutôt chargé, donc à l'avantage de l'attaquant qui peut s'approcher en profitant des divers couverts qui s'offrent au Russe. Mon plan (je joue Russe) est rapidement établi : j'attends d'avoir suffisamment de monde pour submerger la défense Ricaine. Ce dernier se déploie à droite, au niveau des villages. Le Russe entre par la gauche, tous les tours une compagnie (infanterie sur 1-5 et blindé sur un 6), aléatoirement par trois entrées.
Le Russe commence son entrée, à droite et au centre, et attends d'être suffisamment puissant pour lancer l'attaque. L'Américain commence déjà par asticoter le Russe et lui balançant de l'artillerie, mais sans effets. Les vétérans résistent sans problème par rapport aux recrues de la dernière partie.
Première bonne surprise pour moi, après trois tours d'infanterie, mon premier 6 aux renforts. 5 T34/85 font leur apparition. Deux vont soutenir l'assaut sur la droite, les trois autres l'attaque du village au centre. Il me faut un tour pour tout mettre en place et lancer l'attaque.
Le centre et la gauche soviétique. L'Américain décide de faire rentrer son premier groupe de blindés : 4 chasseurs de chars M10. L'un deux va rester coincé dans le "boccage" local.
Bonne surprise pour le Russe, un second escadron de chars arrive en renfort. 3 chasseurs de chars SU100 armés d'un excellent canon. Tout est déjà en place, on va voir comment se comporte ce matériel.
A droite, les deux T34 sont en place, on va pouvoir passer à l'attaque.
Je déploie mon canon de 76 pour attendre l'attaque des chars américains tandis que l'infanterie se réfugie dans le bois. Un barrage d'artillerie américain a déjà désorganisé ma compagnie, mais je reste confiant. L'Américain fonce avec deux M10 dans le bois, soutenu par son infanterie, mais cette contre attaque est désorganisée, laissant les deux chars seuls face à l'infanterie russe. Je n'ai aucun mal à en flinguer un et faire reculer l'autre. Mauvaise idée du Ricain.
A droite, une nouvelle compagnie soviétique vient renforcer l'attaque. Un barrage d'artillerie désorganise encore une fois mes troupes, mais sans les entamer. Par contre, un assaut d'infanterie à découvert me dégomme un T34, ainsi que l'infanterie américaine qui se sacrifie. Coup chanceux mon petit Olaf.
A gauche, mon canon de 76 flingue un autre M10 tandis qu'un SU100 en dégomme un troisième. Je continue mon attaque sans problème, éliminant l'infanterie en face de moi. Ca s'annonce bien pour ma pomme.
Au centre, mon infanterie, soutenue par les trois autres T34, se lance à l'attaque du village. Mon idée était de faire avancer ma gauche sur le centre pour prendre d'assaut le village. Mes petits gars sont repoussés deus fois, mais ils y retournent une troisième, infligeant des pertes sévères aux défenseurs.
Les sherman entrent enfin entre le centre et la gauche américaine, bouchant ce trou. J'avance de façon téméraire un T34 qui se fait tout naturellement bouziller.
Mon premier tir d'artillerie de la partie, un barrage de katioucha pour nettoyer de secteur. Photo avant, pendant, et après. Ceux qui ne sont pas mort sont démos. J'ai eu du bol (aucun résultat en-dessous de 7).
On arrête là, il est tard. Mais en se projetant un peu dans l'avenir, la victoire soviétique ne fait pratiquement aucun doute. Les M10 sont out mais les 5 shermans sont toujours opérationnels. En face, j'ai toujours mes trois SU100 et trois T34/85, en plus de deux canons de 76. En infanterie, les pertes américaines commencent à influencer sur la motivation des troupes tandis que les pertes du Russes restent gérables. De plus, l'Américain a déjà cramé toute son artillerie hors table tandis qu'il me reste encore un bon stock d'obus de mortier de 120.
Au niveau du matos, le T34/85 est équivalent à n'importe quel blindé américain. Par contre, le SU100 a un canon redoutable. En embuscade, il doit déchirer sa race ! Pas sorti les JS2 et les ISU152. Les M10 ont été mal employés par contre.
Pour l'infanterie, la qualité me semble super importante. L'infanterie recrue ou à peine entraînée de la dernière fois a été incapable de faire quoi que ce soit, partant en déroute au premier éternuement de son adversaire. Les vétérans de cette partie sont allés à l'assaut le sourire aux lèvres, c'était beau à voir autant d'enthousiasme à se faire tuer.
C'était une bonne idée de scénario Olaf.
Donc, nous sommes à l'été 1945, quelque part sur la ligne de démarcation entre les deux puissance majeures. Objectif : une brasserie tchèque qui suscite la convoitise des deux protagonistes. Doit-elle distiller de la vodka ou du whisky ? Question essentielle !
L'Américain est en défensive dans le village avec de l'infanterie (deux compagnies) et un peu d'artillerie AC. En réserve, prêt à intervenir sur demande (les communications US sont plutôt performantes), un groupe de chasseurs de chars M10 et un second de Shermans fin de guerre (canon de 76). Le tout est expérimenté, et prêt à défendre chèrement le stock de whisky.
En face, le Russe, qui entre tous les tours, un peu au hasard. Il y aura jusqu'à 4 groupes d'infanterie et 2 groupes de blindés, tous vétérans, donc plus nombreux et avec une meilleur discipline.
Les deux ont un soutien d'artillerie hors table, plutôt balaise.
Voyons voir comment tout ce beau monde se comporte.
La surface de jeu pour commencer. Plutôt chargé, donc à l'avantage de l'attaquant qui peut s'approcher en profitant des divers couverts qui s'offrent au Russe. Mon plan (je joue Russe) est rapidement établi : j'attends d'avoir suffisamment de monde pour submerger la défense Ricaine. Ce dernier se déploie à droite, au niveau des villages. Le Russe entre par la gauche, tous les tours une compagnie (infanterie sur 1-5 et blindé sur un 6), aléatoirement par trois entrées.
Le Russe commence son entrée, à droite et au centre, et attends d'être suffisamment puissant pour lancer l'attaque. L'Américain commence déjà par asticoter le Russe et lui balançant de l'artillerie, mais sans effets. Les vétérans résistent sans problème par rapport aux recrues de la dernière partie.
Première bonne surprise pour moi, après trois tours d'infanterie, mon premier 6 aux renforts. 5 T34/85 font leur apparition. Deux vont soutenir l'assaut sur la droite, les trois autres l'attaque du village au centre. Il me faut un tour pour tout mettre en place et lancer l'attaque.
Le centre et la gauche soviétique. L'Américain décide de faire rentrer son premier groupe de blindés : 4 chasseurs de chars M10. L'un deux va rester coincé dans le "boccage" local.
Bonne surprise pour le Russe, un second escadron de chars arrive en renfort. 3 chasseurs de chars SU100 armés d'un excellent canon. Tout est déjà en place, on va voir comment se comporte ce matériel.
A droite, les deux T34 sont en place, on va pouvoir passer à l'attaque.
Je déploie mon canon de 76 pour attendre l'attaque des chars américains tandis que l'infanterie se réfugie dans le bois. Un barrage d'artillerie américain a déjà désorganisé ma compagnie, mais je reste confiant. L'Américain fonce avec deux M10 dans le bois, soutenu par son infanterie, mais cette contre attaque est désorganisée, laissant les deux chars seuls face à l'infanterie russe. Je n'ai aucun mal à en flinguer un et faire reculer l'autre. Mauvaise idée du Ricain.
A droite, une nouvelle compagnie soviétique vient renforcer l'attaque. Un barrage d'artillerie désorganise encore une fois mes troupes, mais sans les entamer. Par contre, un assaut d'infanterie à découvert me dégomme un T34, ainsi que l'infanterie américaine qui se sacrifie. Coup chanceux mon petit Olaf.
A gauche, mon canon de 76 flingue un autre M10 tandis qu'un SU100 en dégomme un troisième. Je continue mon attaque sans problème, éliminant l'infanterie en face de moi. Ca s'annonce bien pour ma pomme.
Au centre, mon infanterie, soutenue par les trois autres T34, se lance à l'attaque du village. Mon idée était de faire avancer ma gauche sur le centre pour prendre d'assaut le village. Mes petits gars sont repoussés deus fois, mais ils y retournent une troisième, infligeant des pertes sévères aux défenseurs.
Les sherman entrent enfin entre le centre et la gauche américaine, bouchant ce trou. J'avance de façon téméraire un T34 qui se fait tout naturellement bouziller.
Mon premier tir d'artillerie de la partie, un barrage de katioucha pour nettoyer de secteur. Photo avant, pendant, et après. Ceux qui ne sont pas mort sont démos. J'ai eu du bol (aucun résultat en-dessous de 7).
On arrête là, il est tard. Mais en se projetant un peu dans l'avenir, la victoire soviétique ne fait pratiquement aucun doute. Les M10 sont out mais les 5 shermans sont toujours opérationnels. En face, j'ai toujours mes trois SU100 et trois T34/85, en plus de deux canons de 76. En infanterie, les pertes américaines commencent à influencer sur la motivation des troupes tandis que les pertes du Russes restent gérables. De plus, l'Américain a déjà cramé toute son artillerie hors table tandis qu'il me reste encore un bon stock d'obus de mortier de 120.
Au niveau du matos, le T34/85 est équivalent à n'importe quel blindé américain. Par contre, le SU100 a un canon redoutable. En embuscade, il doit déchirer sa race ! Pas sorti les JS2 et les ISU152. Les M10 ont été mal employés par contre.
Pour l'infanterie, la qualité me semble super importante. L'infanterie recrue ou à peine entraînée de la dernière fois a été incapable de faire quoi que ce soit, partant en déroute au premier éternuement de son adversaire. Les vétérans de cette partie sont allés à l'assaut le sourire aux lèvres, c'était beau à voir autant d'enthousiasme à se faire tuer.
C'était une bonne idée de scénario Olaf.
