Vous pensiez en avoir fini avec cette histoire de bottines, pas du tout. Elle a même rebondit d'une bien étrange et cruelle manière.
Mais commençons par les autochtones de Olaftown.
Quelle vision paisible et bucolique d'un petit coin de l'Ouest sauvaaaaage !
Monsieur le maire discute avec un entrepreneur qui a le projet d'ouvrir un nouveau commerce. C'est pas beau ça ?
- C'est vrai que notre petite ville est très dynamique. C'est quoi déjà votre corps de métier ?
- Je fais dans les pompes funèbres. On raconte partout que votre ville a un fort potentiel depuis quelques temps.
Euh… j'aurais aimé que la ville attire autre chose que les croques morts !
Le docteur :
- J'ai une de ces envies de poissons aujourd'hui ! C'est louche, ça sent le gunfight à plein nez.
Le journaliste interroge le marshal.
- Pour nos lecteurs de CNN. Vous pouvez me dire ce que vous avez contre les joueurs de violons ?
- Rien. Mais vous n'avez pas peur que votre successeur ne fasse un article sur les journalistes crevés sur les bords de la route ?
Le chef de gare qui fait payer l'accès des toilettes à présent. On est en Amérique, tout se monnaye !!!
La société des porteurs de cannes. La ville s'embourgeoise y dirait.
Le patron du saloon qui regarde arriver le train. On dirait qu'ils attendent quelqu'un !
Et bien évidement, notre vagabond.
Mais reprenons l'histoire où nous l'avons laissée.
Comme vous le savez tous, Pamela Zalendo a été livrée de ses bottines toutes neuves deux histoires plus tôt. Mais ce qu'elle ne savait pas, c'est qu'elle n'était pas la seule à lorgner sur ces bottines. Une autre jeune personne a passée commande de ces mêmes bottines, commande qui n'a jamais été honorée pour cause de rupture de stock. Et comme Pamela ne se prive pas de montrer à tout le monde ses nouvelles bottines, leur existence a été portée à la connaissance de cette autre jeune personne.
Photo de la bande à Pamela. Elle-même en chef, sa cousine avec un shotgun en second, un autre shotgun, trois revolvers et trois winchesters. Tiens… ce ne serait pas le blondinet au second plan ? Il semblerais bien qu'il ait changé de bande pour conter fleurette à betty !
Hey… une nouvelle bande !!! Josh ne s'est pas encore remise de ses anciennes blessures, ce qui laisse le champ libre à de nouveaux affreux. En l'occurrence, les Bandidos de la bande à "El Canelo" (le pitre). El Canelo au premier plan, sa fille de 13 ans à sa droite. Et derrière deux revolvers et deux fusils (dont un vaquero).
Or donc, la fille d’El Canelo a passé commande des bottines à Pamela Zalendo. Déception lorsqu'elle a appris qu'elles n'étaient plus disponibles. Déception qui s'est transformée en rage lorsqu'elle apprit qu'une autre a ses bottines ! Et comme El Canelo ne peut rien refuser à sa fille chérie, il a décidé de discuter avec Pamela Zalendo : un revolver dans chaque main, accompagné de ses portes flingues. Ca risque de faire du bruit.
Au fait, je ne vous avait pas encore dit le nom de la petite. Je vous le donne en mil… Sarenza bien évidemment !!!
But des Bandidos, flinguer Pamela. But des Citoyens, flinguer El Canelo. On ne fait pas dans la dentelle cette fois-ci.
Pamela et Abe sont dans la maison du docteur.
Le reste de la bande à Pamela chez monsieur de maire, qui a enfin compris qui c'est qui commande dans cette ville.
A l'autre bout de la ville entre El Canelo et ses Bandidos, sa fille au fond. Le bandido entre El Canelo et sa fille est le vaquero, qui disparaîtra pour se cacher (règle embuscade du livre).
Le reste des Bandidos chez le Marshal's Office, qui joue décidemment double jeu. La maison d'à côté, c'est celle du maire. Ca va très vite jouer de la mandoline entre les deux maisons.
Un premier groupe de Citoyens passe par la porte de derrière pour prendre les Bandidos du Marshal's Office par la porte de service. Un autre bandido, à droite, couvre ses camarades.
Les Bandidos les attendent de l'autre côté de la porte. Bloqué de ce côté, j'arriverais pas à passer.
Mais un second groupe de Citoyens passe par la rue principale, bien décidé à les prendre par l'autre porte. Sarenza est planquée derrière le fut de whisky. Je pense que j'ai une ouverture de ce côté.
Pamela, Abe et un de mes revolvers passe par la gauche. El Canelo est derrière les caisses, au fond.
Fin du premier tour. Mon plan est simple, le déborder là où se présente une ouverture. Le Bandidos a un peu les pétoches. Il faut dire que j'ai 9 figurines et lui 6. Mais comme à Dead Man's Hand ça vire très vite au bordel (chez nous en tout cas, je sais pas chez vous), t'as toutes tes chances mon petit Olaf.
Le vaquero apparaît enfin, à droite d’El Canelo (qu'on voit sous l'arbre), bien placé pour le couvrir.
Bonne idée mon petit Olaf. Il se prend une pluie de bastos qui le mettent au tapis, tandis que le boss des Bandidos se replie derrière la maison. Pamela a mis la balle fatale, ce qui promet une prochaine commande de bottines.
Le vaquero a néanmoins eu le temps de flinguer un de mes citoyens tandis que la cousine de Pamela, qui a vidé son shotgun dans la porte de la prison sans effet, s'est repliée avec quelques trous dans sa jupe. 1 à 1… pour l'instant.
C'est que mon groupe du centre, réduit à 2 Citoyens à présent, a pris Sarenza à partie. Bam… Bam… Bam…ça tombe comme à Antietam. Mes Citoyens ont leurs armes déchargées tandis qu’El Canelo vient prêter main forte à sa fille. Et tout ça sous le regard flegmatique du vagabond. Va quand même falloir un jour qu'il se rende compte que c'est dangereux par ici.
A ma droite, les Bandidos se sont pris quelques balles, mais ont mis les Citoyens en fuite. Le blondinet et la cousine de Pamela se sont réfugiés dans la maison du maire.
Rassuré sur sa gauche le bandido se rue sur mon shotgun et le met au tapis. 2 morts contre 1, ca commence petit à petit à devenir le bordel !
Mon petit Olaf nous fait une petite sournoiseté et court vers la porte principale du Marshal's Office et tire sur mon citoyen. Bim. Je me dit qu'il y a un coup à faire, alors je défonce la porte du bureau et met un gros coup de crosse au Chicanos devant moi. Avec un +2, c'est un bon challenge… sauf que c'est lui qui me met au tapis. 3 contre 1, ils sont tous morts au centre. La poisse que j'ai encore ce soir !
Sauf que la femme de mon citoyen se pointe pour venger son mari.
- Y'a pas moyen de se faire une réunion tupperware tranquille ici !!!
Tient… c'est la même veuve que la dernière fois. Elle a du se remarier depuis et s'est fait flinguer son second mari. Y'en a d'autres qui ont de la poisse dans cette histoire !
Sarenza, rassurée de son côté, sort de son couvert et tire sur un citoyen, qu'elle dégomme.
- Youpiiiii… je kif trop les flingue papa !!!
- Ché bièn ma pétite Sarenza. A trèche an, tou a toué toun prémier gringo !
Une vocation est née… les bottines et les flingues.
A noter que c'est Abe qui s'est fait refroidir. Il n'a vraiment pas de bol, c'est la troisième fois que je le joue, c'est la troisième fois qu'il se fait flinguer !
Mes pertes commencent à grimper, faut que je réagisse.
- Ay… oun gringo da mierda !
Par contre, Pamela semble avoir un souci.
- C'est pas possible, je me suis cassé un talon…Si je choppe l'enfant de salaud qui…
Le passé nous a montré que mettre en rogne Pamela a toujours eu des conséquences néfastes pour ses adversaires. Si j'étais El Canelo, je commencerais sérieusement à avoir les pétoches là !
- Plou de gringo !
Oui, mais Pamela a cassé un talon et…
Le blondinet se retrouve nez à nez avec Sarenza. Faudrait juste pas qu'il tombe in love encore une fois.
Ben voilà, la problème est réglé. J'ai arrêté de compter mes morts. Quant au Marshal et au journaliste, ils ont compris que les balles sifflent trop près de leurs oreilles.
Les deux protagonistes ont fini par se retrouver face à face en un duel épique… Tataaa !!!
- Yé vé té régler tou compte puta !
Sauf qu'il est pétrifié par le regard de rage de Pamela. Tu lui a cassé un talon mon petit Chicano. C'est une erreur à ne pas faire, une erreur qui peut te coûter la vie !
A moi de répondre. Sauf qu'il sort une nouvelle sournoiseté, une carte qui lui permet de prendre un otage. Et devinez qui c'est ?
- C'est 50 $ la prise d'otage mon chou.
- Ma… cé plou cher qu'oune passe !
- C'est 5 $ la passe. Mais pour les trucs pervers comme les prises d'otage, c'est plus cher mon chou.
- Esto no es perversidad. Cé oune vré priche d'otache.
- C'est pas mon problème, aboule le fric mon chou !
Sauf qu'il n'aura jamais le temps de sortir les biffetons. Pamela est tellement vénère qu'elle ne peut pas rater son coup. Mon premier 20 de la soirée, mais c'est le bon. Le boss des Bandidos est au tapis, j'ai gagné. Pamela garde ses bottines.
Etat des pertes. 6 Citoyens contre 2 Latinos. Quelle boucherie !
Le croque mort fait le décompte des caisses de cercueils réceptionnés.
- Je crois que j'ai pas vu assez grand, j'ai pas assez de matériel. Je vais être obligé de mettre deux gars par cercueil. Je vais voir avec le saloon si je peux pas récupérer ce fût de bière, j'y mettrais El Canelo.
Olaf ajoutera "ne dit-on pas, mettre en bière". Rhoo le gag pourri !
En attendant, on sait maintenant qui était attendu par le patron du saloon ! Une troupe de danseuses cancan débarquent du train. Elles s'appellent les "Wild Fillies" (les "pouliches sauvages"), mais tout le monde les appellent les WiFi (et je suis très fiers de ce gag moi).
Et à Olaftown, tout se termine en musique. Sympa les figs !!!
TO BE CONTINUED
Mais commençons par les autochtones de Olaftown.
Quelle vision paisible et bucolique d'un petit coin de l'Ouest sauvaaaaage !
Monsieur le maire discute avec un entrepreneur qui a le projet d'ouvrir un nouveau commerce. C'est pas beau ça ?
- C'est vrai que notre petite ville est très dynamique. C'est quoi déjà votre corps de métier ?
- Je fais dans les pompes funèbres. On raconte partout que votre ville a un fort potentiel depuis quelques temps.
Euh… j'aurais aimé que la ville attire autre chose que les croques morts !
Le docteur :
- J'ai une de ces envies de poissons aujourd'hui ! C'est louche, ça sent le gunfight à plein nez.
Le journaliste interroge le marshal.
- Pour nos lecteurs de CNN. Vous pouvez me dire ce que vous avez contre les joueurs de violons ?
- Rien. Mais vous n'avez pas peur que votre successeur ne fasse un article sur les journalistes crevés sur les bords de la route ?
Le chef de gare qui fait payer l'accès des toilettes à présent. On est en Amérique, tout se monnaye !!!
La société des porteurs de cannes. La ville s'embourgeoise y dirait.
Le patron du saloon qui regarde arriver le train. On dirait qu'ils attendent quelqu'un !
Et bien évidement, notre vagabond.
Mais reprenons l'histoire où nous l'avons laissée.
Comme vous le savez tous, Pamela Zalendo a été livrée de ses bottines toutes neuves deux histoires plus tôt. Mais ce qu'elle ne savait pas, c'est qu'elle n'était pas la seule à lorgner sur ces bottines. Une autre jeune personne a passée commande de ces mêmes bottines, commande qui n'a jamais été honorée pour cause de rupture de stock. Et comme Pamela ne se prive pas de montrer à tout le monde ses nouvelles bottines, leur existence a été portée à la connaissance de cette autre jeune personne.
Photo de la bande à Pamela. Elle-même en chef, sa cousine avec un shotgun en second, un autre shotgun, trois revolvers et trois winchesters. Tiens… ce ne serait pas le blondinet au second plan ? Il semblerais bien qu'il ait changé de bande pour conter fleurette à betty !
Hey… une nouvelle bande !!! Josh ne s'est pas encore remise de ses anciennes blessures, ce qui laisse le champ libre à de nouveaux affreux. En l'occurrence, les Bandidos de la bande à "El Canelo" (le pitre). El Canelo au premier plan, sa fille de 13 ans à sa droite. Et derrière deux revolvers et deux fusils (dont un vaquero).
Or donc, la fille d’El Canelo a passé commande des bottines à Pamela Zalendo. Déception lorsqu'elle a appris qu'elles n'étaient plus disponibles. Déception qui s'est transformée en rage lorsqu'elle apprit qu'une autre a ses bottines ! Et comme El Canelo ne peut rien refuser à sa fille chérie, il a décidé de discuter avec Pamela Zalendo : un revolver dans chaque main, accompagné de ses portes flingues. Ca risque de faire du bruit.
Au fait, je ne vous avait pas encore dit le nom de la petite. Je vous le donne en mil… Sarenza bien évidemment !!!
But des Bandidos, flinguer Pamela. But des Citoyens, flinguer El Canelo. On ne fait pas dans la dentelle cette fois-ci.
Pamela et Abe sont dans la maison du docteur.
Le reste de la bande à Pamela chez monsieur de maire, qui a enfin compris qui c'est qui commande dans cette ville.
A l'autre bout de la ville entre El Canelo et ses Bandidos, sa fille au fond. Le bandido entre El Canelo et sa fille est le vaquero, qui disparaîtra pour se cacher (règle embuscade du livre).
Le reste des Bandidos chez le Marshal's Office, qui joue décidemment double jeu. La maison d'à côté, c'est celle du maire. Ca va très vite jouer de la mandoline entre les deux maisons.
Un premier groupe de Citoyens passe par la porte de derrière pour prendre les Bandidos du Marshal's Office par la porte de service. Un autre bandido, à droite, couvre ses camarades.
Les Bandidos les attendent de l'autre côté de la porte. Bloqué de ce côté, j'arriverais pas à passer.
Mais un second groupe de Citoyens passe par la rue principale, bien décidé à les prendre par l'autre porte. Sarenza est planquée derrière le fut de whisky. Je pense que j'ai une ouverture de ce côté.
Pamela, Abe et un de mes revolvers passe par la gauche. El Canelo est derrière les caisses, au fond.
Fin du premier tour. Mon plan est simple, le déborder là où se présente une ouverture. Le Bandidos a un peu les pétoches. Il faut dire que j'ai 9 figurines et lui 6. Mais comme à Dead Man's Hand ça vire très vite au bordel (chez nous en tout cas, je sais pas chez vous), t'as toutes tes chances mon petit Olaf.
Le vaquero apparaît enfin, à droite d’El Canelo (qu'on voit sous l'arbre), bien placé pour le couvrir.
Bonne idée mon petit Olaf. Il se prend une pluie de bastos qui le mettent au tapis, tandis que le boss des Bandidos se replie derrière la maison. Pamela a mis la balle fatale, ce qui promet une prochaine commande de bottines.
Le vaquero a néanmoins eu le temps de flinguer un de mes citoyens tandis que la cousine de Pamela, qui a vidé son shotgun dans la porte de la prison sans effet, s'est repliée avec quelques trous dans sa jupe. 1 à 1… pour l'instant.
C'est que mon groupe du centre, réduit à 2 Citoyens à présent, a pris Sarenza à partie. Bam… Bam… Bam…ça tombe comme à Antietam. Mes Citoyens ont leurs armes déchargées tandis qu’El Canelo vient prêter main forte à sa fille. Et tout ça sous le regard flegmatique du vagabond. Va quand même falloir un jour qu'il se rende compte que c'est dangereux par ici.
A ma droite, les Bandidos se sont pris quelques balles, mais ont mis les Citoyens en fuite. Le blondinet et la cousine de Pamela se sont réfugiés dans la maison du maire.
Rassuré sur sa gauche le bandido se rue sur mon shotgun et le met au tapis. 2 morts contre 1, ca commence petit à petit à devenir le bordel !
Mon petit Olaf nous fait une petite sournoiseté et court vers la porte principale du Marshal's Office et tire sur mon citoyen. Bim. Je me dit qu'il y a un coup à faire, alors je défonce la porte du bureau et met un gros coup de crosse au Chicanos devant moi. Avec un +2, c'est un bon challenge… sauf que c'est lui qui me met au tapis. 3 contre 1, ils sont tous morts au centre. La poisse que j'ai encore ce soir !
Sauf que la femme de mon citoyen se pointe pour venger son mari.
- Y'a pas moyen de se faire une réunion tupperware tranquille ici !!!
Tient… c'est la même veuve que la dernière fois. Elle a du se remarier depuis et s'est fait flinguer son second mari. Y'en a d'autres qui ont de la poisse dans cette histoire !
Sarenza, rassurée de son côté, sort de son couvert et tire sur un citoyen, qu'elle dégomme.
- Youpiiiii… je kif trop les flingue papa !!!
- Ché bièn ma pétite Sarenza. A trèche an, tou a toué toun prémier gringo !
Une vocation est née… les bottines et les flingues.
A noter que c'est Abe qui s'est fait refroidir. Il n'a vraiment pas de bol, c'est la troisième fois que je le joue, c'est la troisième fois qu'il se fait flinguer !
Mes pertes commencent à grimper, faut que je réagisse.
- Ay… oun gringo da mierda !
Par contre, Pamela semble avoir un souci.
- C'est pas possible, je me suis cassé un talon…Si je choppe l'enfant de salaud qui…
Le passé nous a montré que mettre en rogne Pamela a toujours eu des conséquences néfastes pour ses adversaires. Si j'étais El Canelo, je commencerais sérieusement à avoir les pétoches là !
- Plou de gringo !
Oui, mais Pamela a cassé un talon et…
Le blondinet se retrouve nez à nez avec Sarenza. Faudrait juste pas qu'il tombe in love encore une fois.
Ben voilà, la problème est réglé. J'ai arrêté de compter mes morts. Quant au Marshal et au journaliste, ils ont compris que les balles sifflent trop près de leurs oreilles.
Les deux protagonistes ont fini par se retrouver face à face en un duel épique… Tataaa !!!
- Yé vé té régler tou compte puta !
Sauf qu'il est pétrifié par le regard de rage de Pamela. Tu lui a cassé un talon mon petit Chicano. C'est une erreur à ne pas faire, une erreur qui peut te coûter la vie !
A moi de répondre. Sauf qu'il sort une nouvelle sournoiseté, une carte qui lui permet de prendre un otage. Et devinez qui c'est ?
- C'est 50 $ la prise d'otage mon chou.
- Ma… cé plou cher qu'oune passe !
- C'est 5 $ la passe. Mais pour les trucs pervers comme les prises d'otage, c'est plus cher mon chou.
- Esto no es perversidad. Cé oune vré priche d'otache.
- C'est pas mon problème, aboule le fric mon chou !
Sauf qu'il n'aura jamais le temps de sortir les biffetons. Pamela est tellement vénère qu'elle ne peut pas rater son coup. Mon premier 20 de la soirée, mais c'est le bon. Le boss des Bandidos est au tapis, j'ai gagné. Pamela garde ses bottines.
Etat des pertes. 6 Citoyens contre 2 Latinos. Quelle boucherie !
Le croque mort fait le décompte des caisses de cercueils réceptionnés.
- Je crois que j'ai pas vu assez grand, j'ai pas assez de matériel. Je vais être obligé de mettre deux gars par cercueil. Je vais voir avec le saloon si je peux pas récupérer ce fût de bière, j'y mettrais El Canelo.
Olaf ajoutera "ne dit-on pas, mettre en bière". Rhoo le gag pourri !
En attendant, on sait maintenant qui était attendu par le patron du saloon ! Une troupe de danseuses cancan débarquent du train. Elles s'appellent les "Wild Fillies" (les "pouliches sauvages"), mais tout le monde les appellent les WiFi (et je suis très fiers de ce gag moi).
Et à Olaftown, tout se termine en musique. Sympa les figs !!!
TO BE CONTINUED