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Wilson Creek, Missouri... 10 août 1861.... Depuis, la déclaration de le sécession des états du sud, chaque camp essaye de prendre le contrôle de plus de territoire surtout dans les états frontaliers, non alignés. Le Général nordiste N. Lyon, rassuré par sa prise récente de la ville de Springfield, tente d'engager les forces numériquement plus importantes des sudistes du Général Mc Culloch dans les environs de Wilson Creek. Toutefois, il prépare, bizarrement comme son adversaire une attaque de flanc. Les forces avancent....
Lyon arrive par la ferme des Gibsons à la hauteur d'un passage à gué pour son artillerie et veut disputer le carrefour à Mc Culloch. De son côté, se dernier doit non seulement prendre le carrefour, mais également les accès à celui-ci, voir le gué.
Les forces résolues de l'Union...
Les cœurs vaillants du sud...
Le Sud prend l'initiative et ne la rendra plus de la partie. Le carrefour est très vite investit et Mc Culloch avance avec assurance vers le gué... mais c'est sans compter la surprise à la Lyon ! En effet, il a envoyé la division de Sigel attaquer le flanc droit des sudistes (à partir du 2ème tour)
Le flanc droit sudiste reste presque interloqué par l'effronterie de Sigel ! Trop sure d'eux, ne progresse pas vraiment et traîne ; ils le payeront cher et leur artillerie sera détruite par l'infanterie Yankee ! Sur leur flanc droit par contre, les yankees plient petit à petit et sont obligés de se retirer en bonne ordre, et cela malgré deux charges héroïques de l'union sur la route, repoussées violemment par la division centrale sudiste, un peu perdue et peut être surprise de l'attaque sur leur flanc droit. Les deux régiments nordistes seront pourtant détruits coup sur coup, mais auront par leur audace cloué l'avance sudiste, manquant cruellement de soutien au centre pour le moment.
Mais que fait la cavalerie que Mc Culloch a envoyé pour une attaque au flanc ! Elle arrivera finalement au 4ème tour dans le dos de la force principale de Lyon et fidèle à la bravoure sudiste, malgré la mitraille, fond sur l'artillerie, soutenue par au moins deux régiments. On se croit encore sur les champs de batailles napoléoniennes... que nenni, n'ayant pu briser immédiatement cette proie facile, elle va s'enliser jusqu'à la fin de la partie. Le flanc droit sudiste tient finalement, mais n'arrive pas à repousser raisonnablement les braves et courageux Yankees par l'efficacité de leur "inaction" ; oui, trop lente à réagir, il n'y aura pas la dynamique nécessaire à les mettre en fuite. Les quelques cavaliers Yankees tiendront 2 tours consécutifs aux plombs rebelles. Képis bas Messieurs.
La partie s'est finie par un net avantage des rebelles, bien plus nombreux.
Et surtout par manque de temps, bien que nous avons joué 6 tours en 1h30. Le jeu est fluide, simple et rapide... et les jets de dés de Sébastien sont mortels ! Au pire des moments, il s'en ait tiré. J'ai eu l'avantage de l'initiative heureusement. Les canons nordistes font de plus gros ravages et j'ai pu me déployer comme je voulais. Très content de cette belle partie et merci à Seb
Lyon arrive par la ferme des Gibsons à la hauteur d'un passage à gué pour son artillerie et veut disputer le carrefour à Mc Culloch. De son côté, se dernier doit non seulement prendre le carrefour, mais également les accès à celui-ci, voir le gué.
Les forces résolues de l'Union...
Les cœurs vaillants du sud...
Le Sud prend l'initiative et ne la rendra plus de la partie. Le carrefour est très vite investit et Mc Culloch avance avec assurance vers le gué... mais c'est sans compter la surprise à la Lyon ! En effet, il a envoyé la division de Sigel attaquer le flanc droit des sudistes (à partir du 2ème tour)
Le flanc droit sudiste reste presque interloqué par l'effronterie de Sigel ! Trop sure d'eux, ne progresse pas vraiment et traîne ; ils le payeront cher et leur artillerie sera détruite par l'infanterie Yankee ! Sur leur flanc droit par contre, les yankees plient petit à petit et sont obligés de se retirer en bonne ordre, et cela malgré deux charges héroïques de l'union sur la route, repoussées violemment par la division centrale sudiste, un peu perdue et peut être surprise de l'attaque sur leur flanc droit. Les deux régiments nordistes seront pourtant détruits coup sur coup, mais auront par leur audace cloué l'avance sudiste, manquant cruellement de soutien au centre pour le moment.
Mais que fait la cavalerie que Mc Culloch a envoyé pour une attaque au flanc ! Elle arrivera finalement au 4ème tour dans le dos de la force principale de Lyon et fidèle à la bravoure sudiste, malgré la mitraille, fond sur l'artillerie, soutenue par au moins deux régiments. On se croit encore sur les champs de batailles napoléoniennes... que nenni, n'ayant pu briser immédiatement cette proie facile, elle va s'enliser jusqu'à la fin de la partie. Le flanc droit sudiste tient finalement, mais n'arrive pas à repousser raisonnablement les braves et courageux Yankees par l'efficacité de leur "inaction" ; oui, trop lente à réagir, il n'y aura pas la dynamique nécessaire à les mettre en fuite. Les quelques cavaliers Yankees tiendront 2 tours consécutifs aux plombs rebelles. Képis bas Messieurs.
La partie s'est finie par un net avantage des rebelles, bien plus nombreux.
Et surtout par manque de temps, bien que nous avons joué 6 tours en 1h30. Le jeu est fluide, simple et rapide... et les jets de dés de Sébastien sont mortels ! Au pire des moments, il s'en ait tiré. J'ai eu l'avantage de l'initiative heureusement. Les canons nordistes font de plus gros ravages et j'ai pu me déployer comme je voulais. Très content de cette belle partie et merci à Seb
Au fait Michel, on maintien la partie du 10 novembre soir avec Dom pour du